lundi 4 mai 2015

Le Sacrifice de l'Epouvanteur - Joseph Delaney


 ______________-L'avis de Priscila-_______________
Aujourd'hui, on se retrouve pour ma chronique de sixième tome de la saga l'Epouvanteur de Joseph Delaney. Comme vous pouvez le constater, il s'agit d'une saga déjà bien entamé qui a commencé par le tome l'Apprenti Epouvanteur. Tome qui a été adapté au cinéma, film que je n'ai pas vu car comme souvent nos cher voisins américains ont un peu abusé : d'abord en vieillissant de beaucoup le personnage et en y ajoutant beaucoup beaucoup trop de grandiose u_u
Revenons, néanmoins à la saga, j'ai commencé cette série alors que j'étais encore au collège (ouh le coup de vieux!), j'ai beaucoup aimé le principe, moi qui ne suis d'habitude pas une adepte des histoires de fantômes (j'ai horreur de ça, je ne regarde pas non plus les films d'horreur de fantômes ou de possession... bwahhh). Là, c'est plutôt intéressant et on s'attache aux personnages. Le style de l'auteur est très bon, fluide sans être trop jeunesse.

Passons à ce tome en particulier, même si je ne dirais pas vraiment grand chose. N'ayant pas la possibilité de vous donner un avis détailler sur la saga entière, je ne vais pas trop vous en dire. Même si je dois préciser que dans les tomes de cette saga nous suivons les aventures de Thomas, qui suit l'apprentissage d'épouvanteur, luttant contre l'Obscur.
Thomas grandit peu à peu et apprend tout la mesure de son combat, il est devant des choix difficiles et je trouve qu'il devient un peu plus mur, moins naïf même si il y a encore pas mal de chose à régler. Autant dire qu'il n'est pas sorti de l'auberge.
J'aime le fait que dans cette saga, surtout dans ce tome, le bien n'est pas tout blanc et que parfois pour faire ce qui s'avère le plus judicieux il faut faire des choix bien noirs ! Tout comme le fait que les personnes les plus pures ont aussi leur par d'ombre, que le bien n'est pas déterminé par sa naissance mais par qui ont a envie d'être. C'est une bonne leçon sur la nature humaine.
J'ai beaucoup aimé Grimalkin aussi, une des sorcières, je commence à m'attacher à elle. C'est un personnage sombre dont on ne sait pas vraiment si à la fin, elle restera dans ce camp, quoiqu'il en soit, elle me rappelle un autre personnage (mais je ne sais pas qui).

Enfin, en ce qui concerne les mythes (parfois détourné, revisité), je trouve que c'est très intéressant la façon dont l'auteur exploite les monstres ou merveilles de nos légendes. J'ai d'ailleurs souris quand j'ai ouvert le bouquin. Le premier chapitre est intitulé « La ménade » et figurez vous qu'une amie m'en avait parlé la veille alors que je finissais Les Héros de l'Olympe 4. Les ménades sont des femmes qui accompagne Dionysos, hors on retrouvait un peu ce concept dans l'épouvanteur : la ménade est alors un monstre (femme) qui entre dans une transe de folie meurtrière après s'être gorgés d'un mélange de vin et de chaire.
Bon, par contre, il faut avoir le cœur accroché pour lire ça ! Après, je suis de moins en moins atteinte (ou effrayée) par les étranges choses qui se passent dans le livre x)
Je vais m'arrêter là pour cette chronique ^^ je n'ai pas de véritable point négatif à développer dans cette chronique, je n'accorde pourtant pas la note ultime puisque je m'attendais à frissonner un peu plus, néanmoins la révélation sur l'identité de la mère de Thomas m'a vraiment plu  :D

7,5 / 10

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1 commentaire:

  1. Je connais cette saga de nom, elle est assez populaire! Mais je ne l'ai pas lu et pour l'instant je ne compte pas le faire. C'est susceptible de ne pas me plaire mais il y a beaucoup de tomes et ma pile à lire est déjà assez gigantesque! :3

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