lundi 19 février 2018

Chronique film: Rogue One



Hello :)
Aujourd'hui je vous retrouve pour la chronique du seul volet de la saga Star Wars que je n'avais pas encore vu. Vous n'êtes pas sans savoir que Star Wars Rogue One est en fait un spin-off de la saga originale. On se retrouve au moment de la construction de l’Étoile noire, l'arme ultime que développe l'Empire, au cœur de la rébellion. J'étais très enthousiaste à l'idée de voir ce film, mais je n'avais finalement pas pu le voir à sa sortie et c'est en allant voir le huitième volet que j'ai eu envie de regarder celui-ci. Le temps de me le procurer et c'est chose faite !

Et bien pour le coup, je vous avoue que je suis somme toute assez déçue. J'ai trouvé le scénario assez banal... enfin... vous allez me dire, à quoi est-ce que je m'attendais ? Une bande de rebelles cherche à déjouer les plans de l'Empire et finit par y arriver avec plus ou moins de difficultés et de pertes. 
Je n'ai de plus pas réussi à apprécier et m'attacher aux personnages, je les ai trouvés très distants, presque froids, peu expressifs, et je parle là des deux personnages principaux, parce que j'ai beaucoup apprécié celui du gardien du Temple, proche de la Force et le droïde K-2SO. J'étais pourtant ravie de retrouver Diego Luna (que j'avais bien aimé dans le second Dirty Dancing) et Felicity Jones que j'avais découvert dans Inferno. Mais j'ai trouvé leur jeu un peu fade, enfin, leurs personnages un peu fades surtout. Ce sont des personnages qui ont beaucoup vécu et qui ne s'autorisent pas à s'extérioriser et c'est lassant à force. 

Visuellement, c'est très beau à voir bien sur, ça manque un peu du charme des premiers Star Wars mais c'est vraiment bien fait, on découvre de nouvelles planètes, de nouvelles créatures, c'est très intéressant. On retrouve les vaisseaux caractéristiques, les codes de cette saga et c'est chouette mais finalement passé cet émerveillement, Star Wars Rogue One n'est qu'un bonus, un plus, une explication dont on aurait quand même pu se passer. Pour une fois j'ai senti passer les deux heures et demi que dure le film... 
Un point intéressant de ce volet, c'est l'utilisation de la technique d'image de synthèse pour recréer des personnages de la saga originale, que ce soit pour voir la jeune Carie Fisher, ou Peter Cushing mort en 1994 et c'est plutôt réussi, j'aurais même pu passer à côté en ce qui concerne Peter Cushing outre un léger effet d'image bizarre. 

Mis à part ça, je garde une impression d'insatisfaction pour ce film...

6 / 10
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