lundi 24 février 2020

Chronique cinéma: Birds of prey




Un film explosif et coloré !
Birds of Prey est le dernier volet de l’univers DC. Margot Robbie reprend son rôle d’Harley Quinn, toujours aussi déjantée, le personnage doit néanmoins faire face à sa rupture. Et oui ! Harley Quinn n’est plus en couple avec le Joker !

Voilà le point de départ du film. Idée intéressante pour mettre en avant le personnage malheureusement ce qui suit n’est pas excellent. Alternant entre scènes d’actions et scènes drôles, ‘Birds of Prey’ a du mal à maintenir un rythme. Problème lié au scénario lui-même qui est décousu, il y a bien une intrigue principale qui tient la route mais rien de transcendant.

Passant du présent au passé constamment, on découvre les personnages un à un, une idée intéressant qui maladroitement exécutée.

Le point positif : L’univers marqué ‘Birds of Prey’ a une véritable direction artistique. Déjanté, trash et colorée Harley Quinn pourrait créer un mini-univers DC à elle seule. Agissant sans grande réflexion, elle se retrouve dans des situations compliquées, l’obligeant à créer des alliances pour sauver sa peau. Elle ne semble, dans un premier temps, ne pas avoir de notion de bien ou de mal, elle s’en fout. Néanmoins ses rencontres avec les autres personnages féminins lui permettront de réfléchir et de s’affirmer en tant que femme et non plus en tant que petite amie du Joker.

C’est un film d’introduction pour ‘Birds of Prey’, le groupe de super-anti-héroïne n’apparait que tardivement. Je n’aurais pas utilisé ce titre personnellement.

Birds of Prey est encore au cinéma mais je pense qu’il est préférable de dépenser 10€ dans autre chose.

3 / 10
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